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  • Éthique et impact des mots sur la personne atteinte d'Alzheimer et son aidant familial

    "L'Éthique, science de la Morale, s'enseigne depuis l'Antiquité en philosophie, sociologie, psychologie, médecine, autant de « voies » qui indiquent à l'homme un chemin vers moins de souffrance, sinon davantage de bonheur. Quand celle-ci fait défaut, elle est cruellement ressentie, en creux. J'ai choisi quelques mots parmi d'autres pour illustrer ce propos, toujours à partir d'entretiens proposés à des familles concernées par la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée."

    Publié le : 03/03/2014 | Auteur : Claire Demerliac , Association Alzheimer, Le Havre Pays de Caux

  • Enjeux éthique des limitations et arrêts de traitements à la phase aigue des accidents vasculaires cérébraux graves

    "Les décisions de LAT dans les situations d’AVC graves n’ont pas fait l’objet d’études spécifiques [...]. Elles sont habituellement justifiées par un pronostic jugé « catastrophique » qui amène à envisager ce que pourrait être un handicap « inacceptable ». Or émettre un jugement sur la valeur de la vie d’un individu pose de nombreuses questions éthiques, tant au niveau individuel qu’au niveau collectif."

    Publié le : 11/02/2014 | Auteur : Sophie Crozier , Neurologue, praticien hospitalier, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

  • T comme technologie

    Transcription de l'intervention d'Armelle Debru au colloque des 2 et 3 décembre 2011, Maladie d'Alzheimer et nouvelles technologies. Cette intervention fait le point sur les implications d'éthique et d'usage des mots du domaine technologie : télé-médecine ou télé-surveillance, quelle place pour une prise en charge éthique ?

    Publié le : 02/12/2011 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • P comme "placement"

    "Lorsqu’il s’agit d’objets, on les range, on les pose, on les place et déplace à sa guise. Mais pour les personnes, la même chose ne nous dit rien de bon. On ne parle de placement qu’en vue d’une institution, en quarantaine, en garde à vue."

    Publié le : 27/02/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Diagnostiquer précocément... dans l’intérêt des malades ?

    Et si l'intérêt du diagnostic précoce était moins à chercher pour la personne malade que pour les personnes qui l'entourent, ses "aidants-aimants" ?

    Publié le : 09/10/2013 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Psychiatrie auprès des personnes âgées : un baromètre pour l’éthique

    "La personne âgée elle-même peut ouvrir à une vision différente sur une évolution qui n’est pas toujours naufrage, mais autre. Elle nous apprend qu’elle est toujours identique à elle-même mais en pleine évolution vers quelque chose que nous ne connaissons pas, la mort."

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP

  • L’oubli dans la Maladie d’Alzheimer : le vécu du patient

    Comprendre comment le sujet atteint de maladie d’Alzheimer vit ses oublis est souvent difficile. Si certains sujets sont douloureusement conscients de leurs troubles, la méconnaissance ou la sous-estimation du trouble liées à l’anosognosie, l’atteinte du langage, la perte du fil du discours, font qu’il est difficile de saisir ce que le patient ressent lui-même.

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP / Marcela Gargiulo , Docteur en Psychologie, Fédération de Neurologie, groupe hospitalier Pitié- Salpêtrière, AP-HP

  • Être en relation avec une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer: réflexions autour de l'annonce du diagnostic

    A quel point un sujet « dément » ou atteint de maladie d’Alzheimer est-il considéré comme un sujet actif capable d’agir sur son histoire ? Comment est pris en compte son vécu subjectif ? Quelle est la valeur de son discours ? Combien de patients sont au courant de la maladie qui les touche ? Quelle place donne-t-on à l’individu atteint et quelle est la place de la maladie dans le regard que l’on porte sur lui et dans la relation?

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP

  • Enjeux et incertitudes du soin

    "Malgré les formations, quand la démence franchit le seuil de leur unité, le raisonnement des soignants n’est plus le même. Les repères se fragilisent. On devient beaucoup plus frileux. L’approche du sujet désorienté se fait sous le signe de la méfiance. Et quand la démence s’appelle Alzheimer, la simple prononciation du mot souligne déjà une pathologie complexe et étrangère au service, annonciatrice de bien des problèmes."

    Publié le : 11/10/2007 | Auteur : Béatrice Defalt , Cadre infirmier, Hôpital Broca, AP-HP

  • La relation médecin-patient-aidant dans la maladie d'Alzheimer

    Commentaires autour d'une enquête réalisée auprès de médecins généralistes et de patients, à propos de la relation de soins patient/médecin généraliste, dans le cadre de la maladie d'Alzheimer

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Cédric Bornes , Médecin généraliste, Paris

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