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  • A propos de la dévalorisation par les mots dans la maladie d'Alzheimer

    A la question de savoir si nous avons tendance à utiliser des termes plutôt négatifs, dévalorisants, dans le cadre de l’Alzheimer, plus que dans d’autres circonstances, la réponse est oui. On s’intéressera moins aux usages particuliers dans le cadre du soin, qui peuvent aller de la familiarité excessive à la violence verbale, qu’aux connotations contenues dans le langage officiel lui même, administratif ou médical: c’est-à-dire celui où n’intervient pas une intention personnelle, une réaction affective ou autre.

    Publié le : 03/03/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • T comme technologie

    Transcription de l'intervention d'Armelle Debru au colloque des 2 et 3 décembre 2011, Maladie d'Alzheimer et nouvelles technologies. Cette intervention fait le point sur les implications d'éthique et d'usage des mots du domaine technologie : télé-médecine ou télé-surveillance, quelle place pour une prise en charge éthique ?

    Publié le : 02/12/2011 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • P comme "placement"

    "Lorsqu’il s’agit d’objets, on les range, on les pose, on les place et déplace à sa guise. Mais pour les personnes, la même chose ne nous dit rien de bon. On ne parle de placement qu’en vue d’une institution, en quarantaine, en garde à vue."

    Publié le : 27/02/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Q comme "quotidien"

    Allocution d'Armelle Debru lors de l'Université d'été Alzheimer, éthique et société 2012, autour de la question du quotidien.

    Publié le : 27/02/2012 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF