"Face à cette expérience du « dés-espoir », de la perte de tout espoir, de l’avancée inéluctable d’un mal, le soignant (professionnel ou proche) peut se trouver happé par l’angoisse et par une émotion qui pousse à agir pour y échapper. Le premier mouvement est de trouver une réponse, et l’absence de solution ne fait qu’augmenter l’angoisse."
Publié le : 04/06/2015 | Auteur :
Agnès
Michon ,
Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP