"Face à la pathologie démentielle, la famille vit souvent une relation de deuil anticipé avec son patient. Celui-ci lui renvoie parfois l’image du mort à venir qu’elle peut attendre tout en en redoutant le moment. Alors en plaçant le malade dans ce statut de « mort vivant », [...], on peut en arriver à nier les possibilités de relation par trop de souffrance."
Publié le : 04/02/2015 | Auteur :
Geneviève
Demoures ,
Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans