Vous affichez les résultats de 11 à 20 sur un total de 20.
  • Troubles cognitifs et communication : pour la réciprocité d’échanges possibles et féconds

    "Si le guide du voyageur perdu dans le dédale des relations humaines pourrait nous être fort précieux, que dire alors de la communication perturbée et troublée par des atteintes du langage ou de la mémoire ?"

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Pascale Gérardin , Psychologue clinicienne, CMRR Lorraine, CHU de Nancy

  • Accepter ou refuser une proposition d’aide

    "Pour l’aidant familial, en particulier le conjoint, passer le relais à des professionnels c’est prendre le risque de faire disparaître définitivement le lien qui l’attachait encore à son conjoint malade, même si ce lien n’existe parfois plus que dans la souffrance."

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Judith Mollard-Palacios , Experte psychologue, Union France Alzheimer

  • Corps, intimité, vie affective dans la maladie de Parkinson

    "Ce corps devenu « étrange », « gênant », « encombrant », est sous utilisé par peur de mal faire, par peur de tomber … L’akinésie bouleverse les repères corporels et spatiaux. Chaque geste, de par la perte des automatismes, demande une extrême concentration."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Amélie Affagard , Psychomotricienne, gestionnaire de cas, MAIA de Périgueux

  • Appréhender la personne malade avec justesse et selon sa singularité

    "Le regard de la société changera si le regard des professionnels permet au profane d'appréhender la maladie d'une manière juste et, non pas selon ses propres appréhensions ou projections. Ce qui nous intéresse au bout du compte sera donc une bonne connaissance, non pas seulement de la maladie (obligatoire mais pas suffisante) mais du malade dans sa complexité neurologique, psychologique et sociale."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Jean-Luc Noël , Psychologue Clinicien, Paris, Co-président du conseil scientifique de l’association Old Up, Psychologue référent de l’association ISATIS

  • Une existence en société, des activités et des projets préservés

    "Sophie, longtemps femme et mère active au foyer, au sein d’une grande famille aux liens proches, s’est trouvée engloutie par la mort de son marri et sa propre maladie, malgré l’attention tendre de ses enfants. En femme combattante, on ne se plaint pas dans cette conversation où les mots, les pensées échappent, les hallucinations visuelles sont proches."

    Publié le : 26/09/2014 | Auteur : Catherine Fayada , Neurologue, psychothérapeute, IM2A, Groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, médecin du travail, SNCF

  • L’attention portée aux personnes dans l’incapacité de consentir

    "Bien évidemment il ne saurait être acceptable qu’au prétexte de la vulnérabilité et d’une accessibilité aléatoire au consentement éclairé, certaines maladies soient exclues de la recherche et des espoirs d’avenir qu’elle porte. Pourtant la plus grande vigilance s’impose tant les tentations sont nombreuses de dévier de la droiture : intérêts financiers qu’il ne faut pas avoir la naïveté d’occulter, mais aussi espérance de laisser son nom à la postérité comme le découvreur d’un traitement révolutionnant l’histoire d’une maladie, inhérente à l’orgueil de certains…. "

    Publié le : 29/07/2014 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Maladie neurodégénérative : L'identité de la personne face à la maladie

    Publié le : 20/01/2016 | Auteur : Jacques Touchon , Neurologue, Département de neurologie, CHU de Montpellier ; INSERM 1061, université Montpellier 1

  • Reconnaître et préserver les capacités décisionnelles de la personne dans les maladies neurologiques dégénératives évolutive à impact cognitif

    "La seule présence de troubles cognitifs ne permet pas de conclure à l’incapacité. Quand ces troubles sont légers, comme au début de la maladie d’Alzheimer, ils n’empêchent pas forcément de prendre des dispositions en connaissance de cause. Les troubles du comportement sont cependant aussi, bien sûr, à prendre en compte."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Laurence Hugonot-Diener , Psychogériatre, Hôpital Broca, AP-HP, consultation mémoire CMRR Paris-Sud et à Mémorys (réseau Alzheimer du sud Parisien)

  • La relation médecin-patient-aidant dans la maladie d'Alzheimer

    Commentaires autour d'une enquête réalisée auprès de médecins généralistes et de patients, à propos de la relation de soins patient/médecin généraliste, dans le cadre de la maladie d'Alzheimer

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Cédric Bornes , Médecin généraliste, Paris

  • Comment informer sans effraction ? Comment dire sans faire subir ?

    Que dire à la personne malade, à son entourage ? Comment lui parler sans effraction ? Comment trouver une parole qui resitue, redonne un repère, une parole suffisamment familière, dans cet exil identitaire ? Comment lui donner une information saisissable, c’est-à-dire qui ait une forme représentable pour elle ?

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Charlotte Costantino , Psychologue clinicienne, Clinique Villa des Pages

  • Pages