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  • Reconnaître et préserver les capacités décisionnelles de la personne dans les maladies neurologiques dégénératives évolutive à impact cognitif

    "La seule présence de troubles cognitifs ne permet pas de conclure à l’incapacité. Quand ces troubles sont légers, comme au début de la maladie d’Alzheimer, ils n’empêchent pas forcément de prendre des dispositions en connaissance de cause. Les troubles du comportement sont cependant aussi, bien sûr, à prendre en compte."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Laurence Hugonot-Diener , Psychogériatre, Hôpital Broca, AP-HP, consultation mémoire CMRR Paris-Sud et à Mémorys (réseau Alzheimer du sud Parisien)

  • La place renouvelée de la neuropsychologie dans le diagnostic et la prise en charge des patients atteints d’une maladie neurodégénérative

    "La psychologie et les neurosciences cognitives d’aujourd’hui avancent avec d’autant plus de force et de détermination qu’elles apportent des arguments inédits qui servent de guides dans des choix difficiles, dont il est un devoir de bien mesurer les enjeux, pour y apporter les réponses les plus pertinentes."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Francis Eustache , Inserm, U1077, université de Caen Basse/Normandie, UMR-S 1077, École pratique des hautes études, UMR-S1077, CHU de Caen

  • Lorsque vouloir protéger la personne met en cause sa liberté et son intégrité

    "Sauvegarde de justice, curatelle et tutelle demeurent depuis 2007 les trois mécanismes majeurs de protection juridique. Leurs mises en œuvre, bien que fondées sur les principes de nécessité, de subsidiarité et de proportionnalité, impliquent qu’une altération des facultés mentales ou physiques soit médicalement constatée et avérée."

    Publié le : 11/09/2014 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France / Federico Palermiti , Juriste, chargé de mission Association monégasque pour la recherche sur la maladie d’Alzheimer

  • L’identité à l’épreuve du temps

    "La perte de confiance en soi peut être profonde lorsque l’on présente une altération cognitive, notamment mnésique ou langagière, que l’on devient dépendant et que l’on voit son autonomie mise en péril avec une perte des capacités de prise de décision, des capacités de jugement. La précarité sociale, professionnelle, familiale induite par ces symptômes est très invalidante, venant là encore modifier la propre image de sa place dans la société."

    Publié le : 11/09/2014 | Auteur : Pierre Krolak-Salmon , Neurologue, gériatre, CMRR, CHU de Lyon, université Claude Bernard Lyon 1, Centre des Neurosciences de Lyon - INSERM U1048-CNRS5292

  • « Dès qu’on se sait atteint par cette maladie, on se sait condamné »

    Intervention lue par sa fille dans le cadre de l’université d’été Alzheimer, éthique et maladie neurologiques dégénératives – Montpellier, 8 octobre 2014

    Publié le : 27/10/2014 | Auteur : Mireille Depadt , Philosophe

  • Identité et remaniements

    Texte paru dans le cadre l'Université d'été Éthique, Alzheimer et maladies neurodégénératives 2014 du 6 au 9 octobre à Montpellier

    Publié le : 27/10/2014 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • « Tout va bien… je suis là… »

    "Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la surmortalité (+63 %) des conjoints de malades, les 50 % de dépressions avérées des soignants familiaux, les 50 à 60 heures de travail par semaine exclusivement consacrées au malade à domicile. Ce ne sont que des chiffres… Pour moi ce sont des visages."

    Publié le : 03/02/2015 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Du consentement dit "libre et éclairé" à la décision partagée

    "La maladie d’Alzheimer, les maladies apparentées et les maladies psychiques interrogent de façon spécifique la notion de consentement, dans la mesure où elles empêchent à des degrés variables le patient d’avoir une juste appréciation des conséquences de ses choix. Les explications doivent alors bien sûr être adaptées aux possibilités de compréhension de la personne, mais cela n’est pas toujours suffisant : « Demandez à mes enfants ! », entendons-nous souvent."

    Publié le : 01/04/2014 | Auteur : Aline Corvol , Gériatre, CHU de Rennes

  • L’accompagnement au domicile dans le cadre des maladies neurologiques évolutives à impact cognitif : Entre choix et assignation

    Contribution du groupe Éthique et société - Vieillesse et vulnérabilités, à la question du statut des aidants naturels et des missions qui sont attendues d'eux, sur des plans juridiques, culturels et symbolique.

    Publié le : 30/06/2014 | Auteur : Groupe Éthique et Société : Vieillesse et vulnérabilités

  • A propos de la dévalorisation par les mots dans la maladie d'Alzheimer

    A la question de savoir si nous avons tendance à utiliser des termes plutôt négatifs, dévalorisants, dans le cadre de l’Alzheimer, plus que dans d’autres circonstances, la réponse est oui. On s’intéressera moins aux usages particuliers dans le cadre du soin, qui peuvent aller de la familiarité excessive à la violence verbale, qu’aux connotations contenues dans le langage officiel lui même, administratif ou médical: c’est-à-dire celui où n’intervient pas une intention personnelle, une réaction affective ou autre.

    Publié le : 03/03/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

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