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  • Temps du "placement" : Le tragique de l’indécidable

    "Quand on ne peut ni ne peut : « je ne peux te garder à la maison, mais je ne peux me décider à ‘’te placer’’ », on se situe dans le tragique de l’indécidable. Or les faits sont là : perte d’autonomie, troubles des fonctions cognitives, mise en danger par des chutes ou des errances ; l’impossibilité du maintien au domicile s’impose dans une brutalité temporelle qui est celle de l’urgence."

    Publié le : 23/01/2014 | Auteur : Véronique Lefebvre des Noettes , Psychiatre du sujet âgé, docteure en philosophie pratique et éthique médicale

  • Entre hypothèses de recherche et données scientifiques avérées

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Bruno Dubois , Professeur de neurologie, Groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP, directeur de l’Institut de la mémoire et de la maladie d’Alzheimer, président de la Fédération nationale des Centres mémoires des CMRR

  • « Diagnostic précoce » : le droit de savoir a-t-il toujours un sens ?

    Les avancées biomédicales confèrent à nos sociétés un pouvoir d’anticipation sans précédent. À ce pouvoir de savoir qui n’implique pas toujours – loin s’en faut – un pouvoir d’agir, correspondrait un «droit de savoir (et de ne pas savoir)».

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

  • Synthèse de la conférence "Alzheimer et le droit"

    Intervention donnée dans le cadre du colloque "La maladie d'Alzheimer et le droit", organisé à l'Hôpital Européen Georges Pompidou (HEGP) le mercredi 28 novembre 2012, par l'Espace éthique Alzheimer et le laboratoire IRDA de l'Université Paris 13.

    Publié le : 05/08/2013 | Auteur : Annick Batteur , Professeure de Droit à l'Université de Caen, Doyen honoraire

  • Quand et comment informer le patient ? Modalités juridiques

    L’information du malade constitue la base de la relation de confiance entre le patient et le professionnel de santé. C’est aussi un droit fondamental dont la mise en oeuvre est rendue difficile par différentes contraintes. Enfin, l’application de ce droit par les juges évolue, permettant l’identification de préjudices spécifiques comme l’impossibilité de se préparer à une intervention. Dans ces conditions, quelle place accorder à l’information dans la relation avec une personne atteinte par la maladie d’Alzheimer ?

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Benjamin Pitcho , Avocat à la Cour (Paris), ancien membre du Conseil de l'Ordre, Cabinet Benjamin Pitcho