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  • Gouverner au résultat : Comment résister aux charmes de l'indifférence ?

    "La quantification est devenue un instrument de pouvoir dont la force tient à ce que le chiffre est paré des atours incontestables de l’objectivité et de la rationalité. Et la production de ce chiffre est le travail des systèmes d’information mis en place dans toutes les administrations d’Etat et qui sont alimentés par les données fournies par les techniques d’évaluation."

    Publié le : 15/12/2016 | Auteur : Albert Ogien , Sociologue, directeur de recherche au CNRS, CEMS-IMM EHESS

  • Être inventifs d’une éthique engagée

    "Ce à quoi il importe d’être vigilant, c’est au processus contribuant à l’appropriation par chacun – de manière pluraliste, respectueuse de la singularité des expériences et des points de vue – d’une démarche attentive à la perspective éthique d’enjeux à identifier et à reconnaître pour ce qu’ils représentent et constituent avant de tenter de les investiguer et de prétendre formuler, voire imposer, des règles d’action."

    Publié le : 28/06/2016 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Créer une dynamique de gouvernance régionale partagée

    "Mettre de l’humain dans la mise en place du plan, c’est créer les espaces de rencontre et d’échange où l’information circule, où le stratégique se confronte au réel, où se capitalisent les expériences."

    Publié le : 29/03/2016 | Auteur : Michel Clanet , Président du Comité de suivi du Plan maladies neurodégénératives

  • Refus de soins : de la confrontation à la négociation

    "Pour préserver une identité fragilisée par l’âge et/ou la maladie, certaines personnes préfèrent refuser tous les éléments qui pourraient révéler une dépendance. Face à ce type de refus, la sécurisation de la personne dans son identité, par la reconnaissance de ce qu’elle est en tant que personne et non en tant que « malade », peut alors faciliter son acceptation. À l’inverse, la confrontation frontale d’un soignant tentant de convaincre de son expertise ne pourra qu’aggraver la situation."

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Aline Corvol , Gériatre, CHU de Rennes

  • Reconnaître la personne dans son identité, ses préférences et ses choix : de l’affirmation intellectuelle aux actes

    "Il est indispensable de donner à tous, professionnels et familles, des repères solides, certaines obligations même, pour assurer à des personnes que la maladie chronique neurologique a diminuées, modifiées, les droits inaliénables dus à toute personne quelles que soient sa maladie et ses atteintes."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Journée scientifique de l'Université d'été 2014

    Captation intégrale de la journée scientifique de l'Université d'été 2014, organisée le 9 octobre 2014 à la Faculté de médecine de Montpellier

    Publié le : 22/10/2014 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • Évaluer la capacité décisionnelle, condition nécessaire au recueil du consentement

    "Inscrire le patient au centre de sa prise en charge est essentiel, y compris lorsque des troubles cognitifs l’affectent. Si le recueil du consentement est une pierre angulaire de cette prise en charge, l’évaluation de la capacité décisionnelle l’est donc tout autant."

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Béatrice Le Naour , Médecin généraliste, praticien attaché en psycho-gériatrie, Hôpital Bretonneau, AP-HP

  • Le tragique de l’indécidable

    "Comment consentir à une décision qu’on n’a pas vu venir, qui vient d’ailleurs, quand on n’est plus soi-même, que la compréhension, le discours, la faculté de se projeter sont altérés ? Comment, dans notre société qui érige en valeur culte le principe d’autonomie, exiger, quand celle-ci décline, une réflexion, une délibération et un accord, même tacite, à un projet qui n’a jamais pu être pensé ? Faut-il continuer à rechercher ce consentement ? Faut-il y préférer un assentiment plus tacite et passif ou un choix éclairé ?"

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Véronique Lefebvre des Noettes , Psychiatre du sujet âgé, docteure en philosophie pratique et éthique médicale

  • Reconnaître et préserver les capacités décisionnelles de la personne dans les maladies neurologiques dégénératives évolutive à impact cognitif

    "La seule présence de troubles cognitifs ne permet pas de conclure à l’incapacité. Quand ces troubles sont légers, comme au début de la maladie d’Alzheimer, ils n’empêchent pas forcément de prendre des dispositions en connaissance de cause. Les troubles du comportement sont cependant aussi, bien sûr, à prendre en compte."

    Publié le : 05/09/2014 | Auteur : Laurence Hugonot-Diener , Psychogériatre, Hôpital Broca, AP-HP, consultation mémoire CMRR Paris-Sud et à Mémorys (réseau Alzheimer du sud Parisien)

  • Du consentement dit "libre et éclairé" à la décision partagée

    "La maladie d’Alzheimer, les maladies apparentées et les maladies psychiques interrogent de façon spécifique la notion de consentement, dans la mesure où elles empêchent à des degrés variables le patient d’avoir une juste appréciation des conséquences de ses choix. Les explications doivent alors bien sûr être adaptées aux possibilités de compréhension de la personne, mais cela n’est pas toujours suffisant : « Demandez à mes enfants ! », entendons-nous souvent."

    Publié le : 01/04/2014 | Auteur : Aline Corvol , Gériatre, CHU de Rennes

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