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  • Des enquêtes de terrain pour aller au devant de la maladie

    Publié le : 07/10/2013 | Auteur : Jean-François Dartigues , Neurologue, épidémiologiste, professeur de santé publique, responsable du CMRR de Bordeaux

  • Synthèse de la journée scientifique "interventions précoces" du 21 septembre 2013

    Synthèse de la journée scientifique consacrée aux "Interventions précoces", le vendredi 20 septembre 2013.

    Publié le : 03/10/2013 | Auteur : Hervé Chneiweiss , Directeur de recherches au CNRS (DR1), neurobiologiste et neurologue, directeur du laboratoire «Plasticité Gliale» Inserm U752/ université Paris Descartes/Hôpital Sainte-Anne, Paris, Président du comité d’éthique de l’INSERM

  • Ce que représente l'incertitude de l'évolution pour le patient et ses proches

    Si l’incertitude peut prolonger une angoisse, empêcher le sujet d’agir, le bloquer dans une dynamique existentielle, elle peut aussi laisser le temps de certains aménagements psychiques intégrant progressivement l’idée d’un futur possible avec la maladie tout en laissant place à un certain espoir, sans enfermer tout de suite dans un statut de malade. Comment accompagner le sujet dans ses interrogations, lui délivrer les informations dont il a besoin pour être acteur de son avenir ? À quel moment, pour répondre à quelles interrogations et avec quels objectifs ?

    Publié le : 03/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP

  • Diversité d'itinéraires, d'acteurs, de termes, de probabilités et de temporalités

    L’itinéraire des premiers signes aux étapes des investigations cliniques puis de l’annonce est censé réduire les incertitudes et permettre l’intégration du diagnostic. Toutefois le discours des familles témoigne d’incertitudes qui limitent la valeur du diagnostic et sa capacité à susciter l’adhésion aux offres de soins à venir. Il s’agit d’examiner, dans la diversité des itinéraires et des rencontres possibles, ce qui participe à ce phénomène.

    Publié le : 03/10/2013 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • Et lorsque le diagnostic n'est pas précoce ?

    Réaliser le diagnostic de maladie d’Alzheimer pour un patient qui n’exprime pas spontanément de plainte cognitive et dont l’entourage n’a pas non plus de demande particulière n’est pas rare en gériatrie. Ces diagnostics ne sont pas précoces, mais ils ne sont pas pour autant trop tardifs. Ils sont des éléments décisionnels majeurs dans les choix thérapeutiques. Toutefois, ces situations pratiques nous interrogent fortement sur le plan éthique et notamment, de façon apparemment paradoxale, sur la notion même de diagnostic précoce.

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Olivier Drunat , Médecin gériatre, chef de service de neuro-psychogériatrie, Hôpital Bretonneau HUPNVS, AP-HP

  • Une logique d'action interdisciplinaire

    Comment explorer les conditions de possibilité d’une réflexion éthique au sein des CMRR, en interaction avec les acteurs de la recherche et du soin et comme facteurs de liaison entre ces acteurs ?

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Mathieu Ceccaldi , Chef de service de neurologie et neuropsychologie, Pôle de Neurosciences Cliniques, coordonnateur du CMRR PACA-Ouest

  • « Diagnostic précoce » : le droit de savoir a-t-il toujours un sens ?

    Les avancées biomédicales confèrent à nos sociétés un pouvoir d’anticipation sans précédent. À ce pouvoir de savoir qui n’implique pas toujours – loin s’en faut – un pouvoir d’agir, correspondrait un «droit de savoir (et de ne pas savoir)».

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

  • Quand et comment informer le patient ? Modalités juridiques

    L’information du malade constitue la base de la relation de confiance entre le patient et le professionnel de santé. C’est aussi un droit fondamental dont la mise en oeuvre est rendue difficile par différentes contraintes. Enfin, l’application de ce droit par les juges évolue, permettant l’identification de préjudices spécifiques comme l’impossibilité de se préparer à une intervention. Dans ces conditions, quelle place accorder à l’information dans la relation avec une personne atteinte par la maladie d’Alzheimer ?

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Benjamin Pitcho , Avocat à la Cour (Paris), ancien membre du Conseil de l'Ordre, Cabinet Benjamin Pitcho

  • Savoir sur soi : droit de savoir, droit d'ignorer, droit de transmettre à qui ?

    Le désir de savoir, tout comme le désir d’ignorer, peut se faire entendre sous diverses formes, à différents moments, chez un même sujet. Il en est de notre responsabilité éthique de reconnaitre le caractère ambivalent et historique du sujet, afin d’accueillir les logiques subjectives à l’oeuvre chez les patients que nous rencontrons.

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Julie Lesueur , Psychologue clinicienne, service de clinique génétique et CMRR, CHRU de Lille

  • Peut-on évaluer ce que la personne et ses proches veulent savoir ?

    Est-il possible d’évaluer l’exigence de vérité de façon simple et concrète, ainsi que la capacité des patients et de leurs proches à avoir compris l’information donnée et à prendre une décision ? Des variations interviennent nécessairement selon la précocité du diagnostic. Quels outils sont à notre disposition pour intervenir à juste escient ?

    Publié le : 02/10/2013 | Auteur : Laurence Hugonot-Diener , Psychogériatre, Hôpital Broca, AP-HP, consultation mémoire CMRR Paris-Sud et à Mémorys (réseau Alzheimer du sud Parisien)

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