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  • "Dans chaque jour plus de vie que d’amertume"

    "Ce que je ne veux pasn, c’est que l’on disqualifie Philippe sous prétexte de m’aider à me déculpabiliser. Que l’on me dise à quel point il va devenir insupportable de vivre avec lui et donc qu’il sera normal que moi, sa femme, j’accepte qu’on le mette dans un établissement sans doute contre son gré où il sera privé de sa liberté."

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Mina Blanchard , Proche d'une personne atteinte par la maladie d'Alzheimer

  • Alzheimer en EHPAD: Liberté, consentement, prise de décision, famille

    Ce film est tiré d'une rencontre entre les équipes de l'EHPAD Hérold et celle de l'Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer.

    Publié le : 01/08/2011 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • Alzheimer - Mentir pour mieux soigner ?

    Cette chronique éthique a été initialement publiée dans le magazine Socialter (n°34, avril-mai 2019)

    Publié le : 09/04/2019 | Auteur : Sébastien Claeys , Responsable communication et stratégie de médiation, Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France

  • Alzheimer : reconnaître l’humanité d’une fin de vie

    Publié le : 06/11/2009 | Auteur : Vanessa Masset , Psychologue clinicienne, EHPAD, membre du Groupe de réflexion« Éthique et Sociétés - Vieillesse et vulnérabilités

  • Anticiper les devoirs créés par la possibilité d'un diagnostic plus précoce

    Si elle ne veut pas avoir systématiquement un temps de retard sur les avancées de la science, la réflexion éthique ne doit-elle pas essayer d’anticiper ces avancées ?

    Publié le : 20/09/2013 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF

  • Avis Alzheimer, éthique, science et société

    Avis présenté en 2012 par l'Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer.

    Publié le : 13/08/2013 | Auteur : Espace national de réflexion éthique sur la maladie d'Alzheimer

  • Choisir et décider ensemble

    Dans la vie quotidienne de l’aidant familial, les limitations et incapacités de la personne atteinte par Alzheimer à exercer un choix adapté, rendent la vie épuisante : l’époux doit-il sortir chaque nuit à 2 h du matin lorsque sa femme malade décide qu’il faut aller faire les courses, ou la contraindre plus ou moins patiemment à retourner se coucher ? La fille, voyant la santé de sa maman se dégrader, peut-elle la laisser sans soins et annuler le rendez-vous pris pour elle chez le spécialiste ? Doit-elle trouver un subterfuge pour réussir à mieux prendre soin d'elle qui se voit normale et sans problème de santé ?

    Publié le : 11/10/2011 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Enjeux et incertitudes du soin

    "Malgré les formations, quand la démence franchit le seuil de leur unité, le raisonnement des soignants n’est plus le même. Les repères se fragilisent. On devient beaucoup plus frileux. L’approche du sujet désorienté se fait sous le signe de la méfiance. Et quand la démence s’appelle Alzheimer, la simple prononciation du mot souligne déjà une pathologie complexe et étrangère au service, annonciatrice de bien des problèmes."

    Publié le : 11/10/2007 | Auteur : Béatrice Defalt , Cadre infirmier, Hôpital Broca, AP-HP

  • La dignité à l'épreuve de la vie au quotidien

    Vidéo est extraite de l'Université d'été Alzheimer, éthique et société 2012

    Publié le : 21/03/2014 | Auteur : Eric Fiat , Maître de conférences en philosophie, université Paris Est Marne-la-Vallée

  • La démence, cause d'exclusion sociale

    "Le malade est déqualifié, il n'est plus possible de l'entendre : en train de sortir de son propre esprit, ou déjà hors de lui, le malade n'a plus droit à la parole, avant même que celle-ci ne lui manque vraiment. Il n'a plus le droit de décider ni de choisir et, que ce soit avec bienveillance (" pour son bien ") ou malveillance, il est, au mieux traité en petit enfant, au pire comme une chose, voire comme un coupable incarcéré."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Geneviève Laroque , Présidente de la Fondation nationale de gérontologie

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