Vous affichez les résultats de 1 à 10 sur un total de 140.
  • "Chez moi"

    "Ce lieu où je suis la maitresse du temps et des choses. Lieu des souvenirs, lieu du présent, parfois lieu d’enfermement pour certains."

    Publié le : 27/01/2014 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • "Dans chaque jour plus de vie que d’amertume"

    "Ce que je ne veux pasn, c’est que l’on disqualifie Philippe sous prétexte de m’aider à me déculpabiliser. Que l’on me dise à quel point il va devenir insupportable de vivre avec lui et donc qu’il sera normal que moi, sa femme, j’accepte qu’on le mette dans un établissement sans doute contre son gré où il sera privé de sa liberté."

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Mina Blanchard , Proche d'une personne atteinte par la maladie d'Alzheimer

  • "J’essaie d’ajuster ma tête et mon corps"

    "La privation de la parole m’a fait comprendre ce que parler veut dire. Eh bien parler signifie peut-être vivre en paix. Je vois la maladie neuro-dégénérative, en particulier la SLA, comme une monstruosité. Quelle peut bien être sa signification ? Que nous montre-t-elle ?"

    Publié le : 23/07/2015 | Auteur : Frédéric Badré , Écrivain, auteur de La grande santé, Paris, Seuil 2015

  • "Votre maman" : Quand les rôles s’inversent

    "Pas d’effets de manche, pas de théories mais une justesse de ton et d’émotion qui résonne à l’oreille des proches et des familiers de cette pathologie Ainsi épurée, la relation entre cette mère malade qui ne reconnaît pas toujours son fils et cet aidant qui agit en gardien des intérêts de sa mère face à une institution qui ne sait qu’appliquer le règlement est saisissante de vérité."

    Publié le : 15/06/2017 | Auteur : Monique Charron , Rédactrice médicale et chroniqueuse culturelle

  • A propos de la dévalorisation par les mots dans la maladie d'Alzheimer

    A la question de savoir si nous avons tendance à utiliser des termes plutôt négatifs, dévalorisants, dans le cadre de l’Alzheimer, plus que dans d’autres circonstances, la réponse est oui. On s’intéressera moins aux usages particuliers dans le cadre du soin, qui peuvent aller de la familiarité excessive à la violence verbale, qu’aux connotations contenues dans le langage officiel lui même, administratif ou médical: c’est-à-dire celui où n’intervient pas une intention personnelle, une réaction affective ou autre.

    Publié le : 03/03/2014 | Auteur : Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Accepter le diagnostic et ses conséquences dans la vie

    "Il faut du temps pour accepter le diagnostic, il faut du temps pour en accepter les conséquences mais pourtant nous savons que ce travail se déroule et que les malades peuvent évoluer dans le sens de l’acceptation. Certes, plus la maladie avance plus les capacités de pouvoir effectuer ce travail d’acceptation deviennent difficiles à mobiliser par le malade, tout au moins d’une manière spontanée. Mais finalement n’est-ce pas non plus un point commun qui rassemble tous les malades : ce besoin d’être aidé dans ce cheminement ?"

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Jean-Luc Noël , Psychologue Clinicien, Paris, Co-président du conseil scientifique de l’association Old Up, Psychologue référent de l’association ISATIS

  • Accepter ou refuser une proposition d’aide

    "Pour l’aidant familial, en particulier le conjoint, passer le relais à des professionnels c’est prendre le risque de faire disparaître définitivement le lien qui l’attachait encore à son conjoint malade, même si ce lien n’existe parfois plus que dans la souffrance."

    Publié le : 23/09/2015 | Auteur : Judith Mollard-Palacios , Experte psychologue, Union France Alzheimer

  • Aides et accueils de la maladie d'Alzheimer

    La prise en charge des malades atteints d'Alzheimer est-elle spécifique, et si oui, y a-t-il lieu d'imaginer une prise en charge par des dispositifs et une enveloppe financière spécifiques ?

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Florence Leduc , Fédération nationale des associations de soins et de services à domicile (Fassad)

  • Alzheimer et minorités : une double exclusion

    "Le « discrédit » lié à tout handicap, et contre lequel la société lutte depuis une période récente, est aggravé du fait que les actions et réactions des personnes issues des minorités sont par avance dévalorisées, que leur parole est présumée invalide, que même leur prise en charge en fait des êtres trop souvent réduits à la passivité. La maladie d’Alzheimer, maladie de la communication par excellence, prive peu à peu les personnes atteintes de leurs possibilités de comprendre et d’être comprises par leurs proches familiaux ou les professionnels. Il n’y a pas encore de représentation collective des droits attachés à ces personnes."

    Publié le : 02/07/2007 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93 / Armelle Debru , Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF

  • Alzheimer, compétences et formation : tendre vers un même point

    Pour ajuster et concorder la prise en charge interdisciplinaire des patients atteints de maladie d'Alzheimer tout au long de la maladie, chacun des acteurs doit avoir devant lui l'éventail des choix possibles, qu'ils soient médicaux ou sociaux. Cette connaissance des possibilités nécessite formation et compétences de chacun et une déclinaison en partenariat : professionnels, non professionnels, familles, proches et patient.

    Publié le : 19/09/2008 | Auteur : Henri-Pierre Cornu , Chef de service gériatrie-soins palliatifs, Hôpital René Muret AP-HP, 93270 Sevran Groupe de réflexion « Éthique et société – Vieillesse et vulnérabilités », Espace éthique /AP-HP

  • Pages