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  • Maladie d'Alzheimer, métaphore de notre temps ?

    La maladie d’Alzheimer peut être regardée non comme un mythe mais comme une sorte de métaphore pour notre temps, une métaphore qui nous parlerait moins des malades que de nous-mêmes et de notre fonctionnement sociétal.

    Publié le : 09/05/2011 | Auteur : Michel Billé , Sociologue

  • L’oubli destructeur

    L’oubli n’est pas simplement un trou de mémoire ou, à la longue, une déficience fâcheuse. C’est d’abord une faculté active qui permet de tourner la page (ou même, plus radicalement, de changer de livre). Mais comme penser la forme "destructrice" de l'oubli, involontaire, massive, qui affecte notamment les patients atteints de maladies neuro-dégénératives ?

    Publié le : 03/09/2009 | Auteur : Yannis Constantinidès , Professeur agrégé et docteur en philosophie

  • Alzheimer : Respect de l'autonomie

    Comment une nouvelle présomption, de compétence cette fois-ci, pourrait-elle permettre de protéger et promouvoir l'autonomie des personnes atteintes par la maladie d'Alzheimer ?

    Publié le : 27/09/2013 | Auteur : Fabrice Gzil , codirecteur de l'Espace éthique/IDF / Florence Latour , Gériatre, Groupe hospitalier Broca – La Rochefoucauld – La Collégiale, AP-HP

  • Valoriser la pensée sur la pensée

    Publié le : 30/09/2013 | Auteur : Michel Poncet , Neuropsychiatre, coordonnateur du CMRR PACA-Ouest de 2005 à 2008, président de l'Institut de la Maladie d'Alzheimer

  • Le sujet face à la relégation

    Publié le : 30/09/2013 | Auteur : Elisabeth G. Sledziewski , Maître de conférences de philosophie politique, Université de Strasbourg (Institut d'Etudes Politiques) et Espace éthique /AP-HP, membre du conseil scientifique de l’Espace éthique Alzheimer

  • Les Notions clés de l'éthique, édition 2018

    Captation de la journée organisée par l'Espace éthique/IDF le 9 janvier 2018.

    Publié le : 03/10/2018 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • Le cerveau, un des lieux de l’identité ?

    "« En quoi les maladies neurodégénératives posent-elles des questions d’identité ? » et y entendre d’emblée d’autres résonnances. Ces maladies font-elles perdre l’identité ? Que craindrait-on pour les patients s’ils perdaient identité pour cause cérébrale ? Leur part essentielle, vitale ? Leur principe spirituel ? Ce qui les anime : leur force propre d’action, de perception des événements et de réaction ? Leur capacité de rêve ?"

    Publié le : 04/01/2017 | Auteur : Emmanuel Fournier , Professeur à l’université Pierre et Marie Curie (UPMC, Paris VI), responsable du département d’Éthique de l’université et du département de Physiologie de la faculté de médecine Pitié-Salpêtrière

  • Il y a tant de façons de « danser sa vie »…

    "J’ai mis longtemps à comprendre qu’il n’y avait finalement pas de lieu « où l’on devait être ». Il y avait certes des attentes sociales, pronostiquées par des connivences humaines de façon tacite ou pas. Tout cet apparat paraissait en réalité bien illusoire. Dans la vie, le plus important n’était pas le point d’arrivée, mais les pas, la route de vie pour y parvenir, laquelle était singulière à chacun d’entre nous."

    Publié le : 08/06/2015 | Auteur : Anne-Lyse Chabert , Philosophe, Département de recherche en éthique, Espace éthique région Île-De-France

  • Qu’est-ce qu’une maladie neurologique dégénérative ?

    "La question « qu’est-ce qu’une maladie neurologique dégénérative ? » ne demande pas qu’est-ce que nous avons à en dire mais que dit-elle de nous, individuellement et socialement. La question est celle alors du malade dans la maladie et non plus de la maladie sans le malade. Elle n’est plus question de physique mais d’éthique et de métaphysique."

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Jean-Philippe Pierron , Philosophe, Chaire Valeurs du soin, Lyon 3

  • L’annonce anticipée : interroger les intentions et les conséquences éthiques

    "Notre système nerveux est riche de plus de 80 milliards de neurones. Les maladies dites dégénératives évoluent dans cette richesse cellulaire bien longtemps avant de devenir cliniquement décelables. C’est là tout le drame de l’impuissance curative des neurologues. Nos traitements arrivent beaucoup trop tard."

    Publié le : 03/06/2015 | Auteur : Nadine Le Forestier , Neurologue, Centre SLA Ile-de-France, docteur en éthique médicale, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, EA 1610, université Paris Sud

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