"Lorsqu’il s’agit d’objets, on les range, on les pose, on les place et déplace à sa guise. Mais pour les personnes, la même chose ne nous dit rien de bon. On ne parle de placement qu’en vue d’une institution, en quarantaine, en garde à vue."
Publié le : 27/02/2014 | Auteur :
Armelle
Debru ,
Professeur d’histoire de la médecine, université Paris Descartes, Espace éthique/IDF