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  • Être en relation avec une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer: réflexions autour de l'annonce du diagnostic

    A quel point un sujet « dément » ou atteint de maladie d’Alzheimer est-il considéré comme un sujet actif capable d’agir sur son histoire ? Comment est pris en compte son vécu subjectif ? Quelle est la valeur de son discours ? Combien de patients sont au courant de la maladie qui les touche ? Quelle place donne-t-on à l’individu atteint et quelle est la place de la maladie dans le regard que l’on porte sur lui et dans la relation?

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP

  • Stratégies d’accompagnement de ceux qui veulent savoir

    "Les personnes malades quant à elles ont parfois décelé plus ou moins confusément des anomalies, des changements et cherchent une explication. La consultation en fournit une. Et face aux hypothèses et aux explications énoncées par le médecin, les attitudes sont variables. "

    Publié le : 27/02/2014 | Auteur : Pascal Antoine , Professeur de psychopathologie, laboratoire URECA EA 1059, Labex DISTALZ, université Lille 3

  • La quête du chez soi chez le sujet âgé atteint de la maladie d’Alzheimer

    Publié le : 02/09/2009 | Auteur : Céline Le Bivic , Psychologie clinicienne, hôpital Emile-Roux, AP-HP

  • Face aux souffrances

    Parler de communication c’est aussi parler de l’accompagnement du malade et de sa famille. Accompagnement et communication sont deux notions indissociables et plus encore lorsqu’il s’agit de démence.

    Publié le : 14/10/2013 | Auteur : Isabelle Fojcik , Coordinatrice du Centre local d'information et de coordination (CLIC), Centre hospitalier de La Fère (02), membre du groupe de recherche et de réflexion Éthique et société – vieillesse et vulnérabilité, Espace éthique/AP-HP

  • Communiquer jusqu'aux limites du possible

    "Pour retrouver la personne démente et la comprendre, il faut peut-être avoir une approche différente de l’approche médicale classique dont les soignants ont l’habitude. Faut-il toujours nous cantonner au repérage de signes connus, voire appris, sans se soucier de rechercher ce que le dément nous donne à comprendre ?"

    Publié le : 27/09/2013 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93