L’oubli n’est pas simplement un trou de mémoire ou, à la longue, une déficience fâcheuse. C’est d’abord une faculté active qui permet de tourner la page (ou même, plus radicalement, de changer de livre). Mais comme penser la forme "destructrice" de l'oubli, involontaire, massive, qui affecte notamment les patients atteints de maladies neuro-dégénératives ?
Publié le : 03/09/2009 | Auteur :
Yannis
Constantinidès ,
Professeur agrégé et docteur en philosophie