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  • Le caractère humain d’un échange qui va respirer

    Publié le : 12/01/2009 | Auteur : Vincent Meininger , Professeur de médecine, Fédération des maladies du système nerveux. groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP, Paris

  • Le cerveau, un des lieux de l’identité ?

    "« En quoi les maladies neurodégénératives posent-elles des questions d’identité ? » et y entendre d’emblée d’autres résonnances. Ces maladies font-elles perdre l’identité ? Que craindrait-on pour les patients s’ils perdaient identité pour cause cérébrale ? Leur part essentielle, vitale ? Leur principe spirituel ? Ce qui les anime : leur force propre d’action, de perception des événements et de réaction ? Leur capacité de rêve ?"

    Publié le : 04/01/2017 | Auteur : Emmanuel Fournier , Professeur à l’université Pierre et Marie Curie (UPMC, Paris VI), responsable du département d’Éthique de l’université et du département de Physiologie de la faculté de médecine Pitié-Salpêtrière

  • Le code de Nuremberg, l’irruption de la conscience bioéthique

    Publié dans Le Monde, 20-21 août 2017

    Publié le : 21/08/2017 | Auteur : Emmanuel Hirsch , Ancien directeur de l’Espace éthique de la région Île-de-France (1995-2022), Membre de l'Académie nationale de médecine

  • Le corps sur le devant de la scène, dans la maladie de Parkinson

    "La maladie force à une nouvelle intimité. La première fois que j’ai du faire prendre une douche à mon mari, j’ai eu le sentiment de ne plus savoir faire ce que j’ai pourtant pratiqué avec de nombreux malades, comme si la dimension affective venait perturber mon savoir faire. Lui a perçu mon malaise qu’il a interprété comme de l’agacement parce qu’il pense qu’il s’agit d’une réaction « normale »."

    Publié le : 04/09/2014 | Auteur : Frédérique Lanneau , Infirmière, épouse d’une personne atteinte de la maladie de Parkinson

  • Le diagnostic précoce dans le cadre de la médecine d’anticipation

    Intervention inaugurale, 1er Forum Éthique de la recherche, maladie d’Alzheimer et maladies neuro-dégénératives (MND), Caen, 2 juin 2016, organisé par les Espaces de réflexion éthique de Normandie avec l’Espace national de réflexion éthique MND.

    Publié le : 06/06/2016 | Auteur : Michel Clanet , Président du Comité de suivi du Plan maladies neurodégénératives / Joël Ankri , Professeur de santé publique et de gériatrie, chef de service, Sainte Périne, AP-HP, membre du Comité de suivi du Plan MND

  • Le malade jeune en EHPAD : intrus ou révélateur ?

    Analyse d'un cas clinique d'une personne jeune (58 ans) atteinte par la maladie d'Alzheimer et de son rôle de révélateur dans un EHPAD.

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP / Jean-Pierre Chesson , Médecin coordonnateur, EHPAD, Fondation Gourlet Bontemps / Élodie Passeri , Psychologue clinicienne, Neuropsychologue, EHPAD, Fondation Gourlet Bontemps

  • Le placement de la personne âgée en institution

    Dossier thématique suite à la réunion du groupe de travail

    Publié le : 10/01/1999 | Auteur : Groupe Miramion / Espace éthique/IDF

  • Le sens du soin auprès des malades Alzheimer

    "Dans la confrontation avec la maladie d’Alzheimer le problème du sens prend une dimension ontologique, vitale. Pour le mari qui ne comprend ni où il se trouve, ni pourquoi il est là avec sa valise. Pour l’épouse épuisée, prise dans des conflits de loyauté et qui ne comprend pas pourquoi son mari n’a plus figure humaine. "

    Publié le : 18/12/2015 | Auteur : Véronique Lefebvre des Noettes , Psychiatre du sujet âgé, docteure en philosophie pratique et éthique médicale

  • Le test génétique, moyen de prédire l'avenir ?

    Dans un contexte où l'évaluation de risque peut se transformer en certitude, quelles situations prédictives existent ? Quelles limites, quels effets pervers ces tests impliquent-ils ?

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Annie Nivelon-Chevallier , Généticienne clinicienne, C.H.R.U. de Dijon

  • Le tragique de l’indécidable

    "Comment consentir à une décision qu’on n’a pas vu venir, qui vient d’ailleurs, quand on n’est plus soi-même, que la compréhension, le discours, la faculté de se projeter sont altérés ? Comment, dans notre société qui érige en valeur culte le principe d’autonomie, exiger, quand celle-ci décline, une réflexion, une délibération et un accord, même tacite, à un projet qui n’a jamais pu être pensé ? Faut-il continuer à rechercher ce consentement ? Faut-il y préférer un assentiment plus tacite et passif ou un choix éclairé ?"

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Véronique Lefebvre des Noettes , Psychiatre du sujet âgé, docteure en philosophie pratique et éthique médicale

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