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  • Les discriminations dans l’accès aux soins

    "Combien de fois la douleur n’est-elle pas reconnue chez un patient qui crie, qui s’agite, qui refuse ? Est-ce une raison pour décider d’arrêter une dialyse au motif que l’agitation anxieuse « montre bien qu’elle ne la supporte pas, alors qu’il suffit d’un traitement adapté anticipé, et que l’équipe soignante prenne le temps de rassurer ?"

    Publié le : 28/09/2015 | Auteur : Geneviève Demoures , Psycho-gériatre, chef de service, Le verger des Balans

  • Les enjeux éthiques d’un partage forcé de l’intimité

    "Je suppose que la personne soignante, professionnelle ou non, est obligée de partager son intimité avec la personne dont elle s’occupe ; à partir du moment où on entre dans l’intimité d’une personne, on partage un secret avec cette personne et donc un espace d’intimité, quand bien même on ne laisse rien transparaître de sa propre personnalité."

    Publié le : 08/06/2016 | Auteur : Paul-Loup Weil-Dubuc , Responsable du Pôle Recherche, Espace de réflexion éthique Ile-de-France, laboratoire d'excellence DISTALZ

  • Les pouvoirs publics s'engagent aux côtés des soignants

    "Prévention ou diagnostic précoce, amélioration de la prise en charge à tous les degrés ou à tous les niveaux d’entrée dans le système institutionnel, anticipation et accompagnement des malades qui sont des malades lourds et de leur entourage, notamment familial, constituent des questions qui recouvrent non seulement les aspects médicaux et soignants mais prennent une dimension éthique."

    Publié le : 10/09/2004 | Auteur : Édouard Couty , Directeur de l’hôpital Saint-Louis

  • Les proches aidants : une question sociétale

    Un rapport de l'Association Française des aidants

    Publié le : 09/03/2016 | Auteur : Association française des aidants

  • Les promesses éthiques de la neuroéthique

    Au carrefour de l’"éthique des neurosciences" et de la "neuroscience de l’éthique", le domaine de recherche ouvert par la neuro-éthique nous invite à reposer des questions fondamentales de morale et de philosophie sous un nouvel éclairage.

    Publié le : 04/06/2014 | Auteur : Bernard Baertschi , Maître d’enseignement et de recherche, Institut Éthique, Histoire, Humanités, université de Genève

  • Loi du 2 février 2016 créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie : rupture ou continuité ?

    "La loi du 22 avril 2005 poursuivait principalement deux objectifs[11]. Elle proscrivait l’obstination déraisonnable et avait institué une procédure collégiale et transparente des arrêts de traitement. Peut-on considérer dès lors que ces choix ont été remis en cause par la loi du 2 février 2016 et que la philosophie qui l’animait a été abandonnée? Dans un domaine qui admet peu les raccourcis simplistes et les raisonnements binaires, cette question appelle une réponse nuancée."

    Publié le : 18/05/2016 | Auteur : Yves-Marie Doublet , Chargé d’enseignement en droit, Département de recherche en éthique, université Paris Sud

  • Lorsque la parole de la loi banalise la violence

    Notre droit apparaît singulièrement démuni contre les actes de maltraitance envers les personnes vulnérables. Il existe certes une nébuleuse d’infractions diverses pouvant trouver à s’appliquer mais elles saisissent difficilement la réalité de ce type d'abus, et un grand décalage existe entre la loi d’une part et les Recommandations de bonnes pratiques et chartes éthiques.

    Publié le : 12/12/2011 | Auteur : Benjamin Pitcho , Avocat à la Cour (Paris), ancien membre du Conseil de l'Ordre, Cabinet Benjamin Pitcho / Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Lorsque vouloir protéger la personne met en cause sa liberté et son intégrité

    "Sauvegarde de justice, curatelle et tutelle demeurent depuis 2007 les trois mécanismes majeurs de protection juridique. Leurs mises en œuvre, bien que fondées sur les principes de nécessité, de subsidiarité et de proportionnalité, impliquent qu’une altération des facultés mentales ou physiques soit médicalement constatée et avérée."

    Publié le : 11/09/2014 | Auteur : Valérie Depadt , Maître de conférences, Université Paris 13, Sciences Po Paris, Conseillère de l’Espace de réflexion éthique de la région Île-de-France / Federico Palermiti , Juriste, chargé de mission Association monégasque pour la recherche sur la maladie d’Alzheimer

  • L’accompagnement au domicile dans le cadre des maladies neurologiques évolutives à impact cognitif : Entre choix et assignation

    Contribution du groupe Éthique et société - Vieillesse et vulnérabilités, à la question du statut des aidants naturels et des missions qui sont attendues d'eux, sur des plans juridiques, culturels et symbolique.

    Publié le : 30/06/2014 | Auteur : Groupe Éthique et Société : Vieillesse et vulnérabilités

  • L’agressivité des malades comme indicateur de la relation soignant-soigné

    "En dehors de toutes étiologies neurologiques, somatiques ou iatrogènes, l’agressivité est généralement une manière de dire, un langage corporel (parfois verbal) qui montre l’inadaptation entre l’environnement et les besoins du patient. "

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Jean-Luc Noël , Psychologue Clinicien, Paris, Co-président du conseil scientifique de l’association Old Up, Psychologue référent de l’association ISATIS / Daisy Légier , Psychologue clinicienne, Hôpital Sainte Périne, AP-HP

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