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  • Psychiatrie auprès des personnes âgées : un baromètre pour l’éthique

    "La personne âgée elle-même peut ouvrir à une vision différente sur une évolution qui n’est pas toujours naufrage, mais autre. Elle nous apprend qu’elle est toujours identique à elle-même mais en pleine évolution vers quelque chose que nous ne connaissons pas, la mort."

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP

  • L’oubli dans la Maladie d’Alzheimer : le vécu du patient

    Comprendre comment le sujet atteint de maladie d’Alzheimer vit ses oublis est souvent difficile. Si certains sujets sont douloureusement conscients de leurs troubles, la méconnaissance ou la sous-estimation du trouble liées à l’anosognosie, l’atteinte du langage, la perte du fil du discours, font qu’il est difficile de saisir ce que le patient ressent lui-même.

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP / Marcela Gargiulo , Docteur en Psychologie, Fédération de Neurologie, groupe hospitalier Pitié- Salpêtrière, AP-HP

  • Être en relation avec une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer: réflexions autour de l'annonce du diagnostic

    A quel point un sujet « dément » ou atteint de maladie d’Alzheimer est-il considéré comme un sujet actif capable d’agir sur son histoire ? Comment est pris en compte son vécu subjectif ? Quelle est la valeur de son discours ? Combien de patients sont au courant de la maladie qui les touche ? Quelle place donne-t-on à l’individu atteint et quelle est la place de la maladie dans le regard que l’on porte sur lui et dans la relation?

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Agnès Michon , Neurologue, groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière, AP-HP

  • Pourquoi et comment donner une place à l’annonce diagnostique au sein d’une consultation mémoire ?

    Face à la démarche d’objectivation des signes menant à l’établissement du diagnostic, un autre travail se construit, trvail de rencontre avec le malade et sa famille, dans l’incontournable prise en considération de ses ou de leurs attentes, de leurs représentations de ce qui se produit, de la manière dont il /ils peuvent s’approprier des éléments de cette démarche afin de trouver, pour eux-mêmes, et dans leur singularité un aménagement qui permette de vivre avec leurs difficultés.

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Bruno Le Dastumer , Praticien hospitalier / Clara Mure-Petitjean , Centre Mémoire Groupe hospitalier Sainte-Périne - Rossini - Chardon, AP-HP

  • Enjeux et incertitudes du soin

    "Malgré les formations, quand la démence franchit le seuil de leur unité, le raisonnement des soignants n’est plus le même. Les repères se fragilisent. On devient beaucoup plus frileux. L’approche du sujet désorienté se fait sous le signe de la méfiance. Et quand la démence s’appelle Alzheimer, la simple prononciation du mot souligne déjà une pathologie complexe et étrangère au service, annonciatrice de bien des problèmes."

    Publié le : 11/10/2007 | Auteur : Béatrice Defalt , Cadre infirmier, Hôpital Broca, AP-HP

  • La relation médecin-patient-aidant dans la maladie d'Alzheimer

    Commentaires autour d'une enquête réalisée auprès de médecins généralistes et de patients, à propos de la relation de soins patient/médecin généraliste, dans le cadre de la maladie d'Alzheimer

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Cédric Bornes , Médecin généraliste, Paris

  • Comment informer sans effraction ? Comment dire sans faire subir ?

    Que dire à la personne malade, à son entourage ? Comment lui parler sans effraction ? Comment trouver une parole qui resitue, redonne un repère, une parole suffisamment familière, dans cet exil identitaire ? Comment lui donner une information saisissable, c’est-à-dire qui ait une forme représentable pour elle ?

    Publié le : 11/10/2013 | Auteur : Charlotte Costantino , Psychologue clinicienne, Clinique Villa des Pages

  • Choisir et décider ensemble

    Dans la vie quotidienne de l’aidant familial, les limitations et incapacités de la personne atteinte par Alzheimer à exercer un choix adapté, rendent la vie épuisante : l’époux doit-il sortir chaque nuit à 2 h du matin lorsque sa femme malade décide qu’il faut aller faire les courses, ou la contraindre plus ou moins patiemment à retourner se coucher ? La fille, voyant la santé de sa maman se dégrader, peut-elle la laisser sans soins et annuler le rendez-vous pris pour elle chez le spécialiste ? Doit-elle trouver un subterfuge pour réussir à mieux prendre soin d'elle qui se voit normale et sans problème de santé ?

    Publié le : 11/10/2011 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • Face aux souffrances

    Parler de communication c’est aussi parler de l’accompagnement du malade et de sa famille. Accompagnement et communication sont deux notions indissociables et plus encore lorsqu’il s’agit de démence.

    Publié le : 14/10/2013 | Auteur : Isabelle Fojcik , Coordinatrice du Centre local d'information et de coordination (CLIC), Centre hospitalier de La Fère (02), membre du groupe de recherche et de réflexion Éthique et société – vieillesse et vulnérabilité, Espace éthique/AP-HP

  • Malades d'Alzheimer jeunes : changer le regard

    Comment les malades jeunes, atteints par la maladie d'Alzheimer avant 60 ans, modifient-ils notre regard et nos représentation de cette pathologie ?

    Publié le : 14/10/2013 | Auteur : Judith Mollard-Palacios , Experte psychologue, Union France Alzheimer

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