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  • Il y a tant de façons de « danser sa vie »…

    "J’ai mis longtemps à comprendre qu’il n’y avait finalement pas de lieu « où l’on devait être ». Il y avait certes des attentes sociales, pronostiquées par des connivences humaines de façon tacite ou pas. Tout cet apparat paraissait en réalité bien illusoire. Dans la vie, le plus important n’était pas le point d’arrivée, mais les pas, la route de vie pour y parvenir, laquelle était singulière à chacun d’entre nous."

    Publié le : 08/06/2015 | Auteur : Anne-Lyse Chabert , Philosophe, Département de recherche en éthique, Espace éthique région Île-De-France

  • Informer la personne atteinte par la maladie d'Alzheimer : quelques enjeux

    L’information du malade d’Alzheimer ne peut pas se faire selon une approche dogmatique. Il faut essayer de trouver les clés d’une réflexion permettant de choisir la meilleure voie dans chaque situation rencontrée en tenant compte des réalités de terrain. Si l’horizon est celui de la vérité, le chemin à suivre peut s’en détourner lorsque la connaissance du malade et des enjeux met en évidence les dangers de l’annonce.

    Publié le : 28/07/2014 | Auteur : Julien Berthaud , Praticien hospitalier, service de gériatrie, Hôpital de Provins

  • Inventer avec la personne malade, s’adapter au quotidien

    "L’objectif du collectif Dingdingdong qui s’est fondé en 2012 en tant qu’Institut de coproduction de savoir sur la maladie de Huntington est de créer avec les personnes concernées par cette maladie des savoirs pertinents qui changent la donne quant à la manière dont on peut la vivre, la ressentir, l’apprivoiser, en apportant un crédit tout aussi important à l’imaginaire et à l’art qu’aux savoirs médicaux."

    Publié le : 19/04/2016 | Auteur : Émilie Hermant , Ecrivain, psychologue clinicienne et directrice du collecitf DingDingDong

  • Journal de l'Espace éthique : Éthique, société et maladies neurodégénératives

    Une exploration des enjeux éthiques liés aux maladies neurodégénératives

    Publié le : 03/09/2015 | Auteur : Espace éthique/IDF

  • Journée mondiale Alzheimer 2016 : « Des vulnérabilités partagées »

    "Alors, au-delà des vulnérabilités spécifiques de ces maladies neuro évolutives de type Alzheimer, celles qui touchent les personnes atteintes directement et celles qui touchent les intimes par un partage de la vie de chaque jour, il conviendrait peut-être de s’interroger sur ces mêmes « partages » des vulnérabilités pour notre société française toute entière."

    Publié le : 07/09/2016 | Auteur : Catherine Ollivet , Présidente du Conseil d’orientation de l’Espace de réflexion éthique de la région Ile-de-France, Présidente de France Alzheimer 93

  • L'altérité des genres dans la maladie d'Alzheimer - Inégalités ou richesses ?

    "La question éthique pourrait ne plus alors porter sur l’inégalité, mais plutôt sur le droit au choix : La répartition des responsabilités familiales est-elle choisie ou subie dans notre société, tenant compte des conséquences économiques de ces choix plus ou moins soutenus par une politique sociale adaptée, permettant à l’exercice de ce choix de ne pas se traduire in fine par une situation inégalitaire de genre."

    Publié le : 28/11/2013 | Auteur : Groupe Éthique et Société : Vieillesse et vulnérabilités

  • La chambre d’en face : La surprise de l’amour

    "En réaffirmant la suprématie des émotions comme sources de richesse chez un individu fut-il malade, le réalisateur Michael Noer convoque ces fameuses « capacités restantes » autour desquelles peut s’organiser une prise en charge personnalisée pour les malades atteints d’Alzheimer."

    Publié le : 11/01/2017 | Auteur : Monique Charron , Rédactrice médicale et chroniqueuse culturelle

  • La co-conception en living lab santé et autonomie

    Synthèse du travail du Forum Living lab santé et autonomie

    Publié le : 10/03/2016 | Auteur : Forum LLSA

  • La démence, cause d'exclusion sociale

    "Le malade est déqualifié, il n'est plus possible de l'entendre : en train de sortir de son propre esprit, ou déjà hors de lui, le malade n'a plus droit à la parole, avant même que celle-ci ne lui manque vraiment. Il n'a plus le droit de décider ni de choisir et, que ce soit avec bienveillance (" pour son bien ") ou malveillance, il est, au mieux traité en petit enfant, au pire comme une chose, voire comme un coupable incarcéré."

    Publié le : 17/06/2003 | Auteur : Geneviève Laroque , Présidente de la Fondation nationale de gérontologie

  • La lettre de l'Espace éthique-AP/HP Hors-Série 1

    Au sommaire : Un dossier spécial lié au colloque "Alzheimer, les soignants s'engagent"

    Publié le : 24/06/2013 | Auteur : Espace éthique/IDF

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